Ce dispositif a permis en 2010 d’augmenter de 1,1 milliard d’euros les fonds propres des PME, rappelle la CGPME.
« Grâce à un effet de levier incontestable, plaide la CGPME, ce mécanisme permettra aux entreprises d’obtenir davantage de financements pour investir, embaucher, créer de la croissance. Il contribue ainsi au développement des PME françaises dont tous s’accordent à dire que le manque de fonds propres explique pour partie le trop faible nombre d’entreprises moyennes.
« Remettre en cause un mécanisme qui fait chaque année preuve de son efficacité serait une ineptie basée sur un raisonnement à courte vue.
« L’ISF PME n’est pas une niche fiscale, c’est un outil devenu indispensable aux PME », affirme l’organisation patronale que préside Jean-François Roubaud.
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